Le Parc National de la Majella établi en 1991, Il a une extension de 74.095 ha, compte 39 commune et comprend 4 grande individualité orographique: le massif de la Majella, Morrone, Porrara et Monti Pizzi. Avec le deuxième plus haut sommet des Apennins (Monte Amaro 2793 m), et 55% de son territoire à des altitudes plus élevé que 2000 m, Il est la deuxième plus haute montagne des Apennins.

Pour la voir de loin Majella apparaît massive et compacte, mais pour le voir de près, il tourne des fissures profondes qui cachent un monde inattendu et surprenant: un réseau à long I, fois profondes, sec et taillé dans la roche comme des canyons, autre plus ouvert et luxuriante avec des courants sur le fond, comme les vallées alpines. Alors que ceux qui marchent en haut, au-dessus du 2400 m, Il découvre un monde incroyable de pierre aride et vallonné, un environnement particulier, presque lunaire, unique dans les Apennins.

montagne mère au peuple des Abruzzes, il semble que son nom est lié au culte de la déesse Maja, considéré comme la grande mère, symbole de terres fertiles. Et dans ses formes sinueuses dans de nombreux au fil des siècles ont vu la forme féminine, maternelle et séduisant à la fois.

Pour ses caractéristiques uniques de ce massif était isitituito le Parc National de la Majella, que d'un point de vue naturaliste est extraordinairement riche en faune et flore (avec 1800 espèces végétales interrogés, environ un tiers de la totalité de la flore italienne) et il présente bien 140 entités végétales endémiques, mis en évidence par l'épithète “magellensis”.

Le symbole du parc est le loup des Apennins, miraculeusement sauvé de l'extinction et qui a trouvé un environnement idéal.

Outre la nature du Parc National de la Majella, il a pour mission de protéger également les nombreux sites archéologiques, historique et artistique qui surgissent entre ses vallées, habité par les humains depuis l'aube.

Les vestiges archéologiques parlent de la présence humaine sur cette montagne depuis 700.000 il y a quelques années, lorsque les chasseurs nomades préhistoriques ont également poussé sur les plus hauts sommets dans la poursuite de grands mammifères. Quand l'homme est devenu sédentaire agriculteur-agriculteur a commencé à construire des huttes et des villages et d'utiliser les nombreuses grottes existantes comme les refuges et les lieux de sépulture et de culte.

Cette sacralité profonde fait au Moyen Age une destination idéale pour les moines et ermites le monde comme une région avec la plus forte densité d'ermitages en Europe. de grandes taches de beauté sont les ermitages Célestins, définir comme des pierres précieuses dans les parois rocheuses, expression d'un mélange parfait de l'art, la spiritualité et de la nature.

Pour ces exemples de l'architecture spirituelle pauvres sont combinés grandes abbayes et monastères au Moyen Age ont conservé la connaissance, Ils ont produit de grandes œuvres d'art et ont administré une proie facile pour le territoire des différentes dominations.

Un autre témoin le lien profond entre la soi-disant Montagne Mère et leurs habitants sont les cabanes en pierres sèches pastorales dispersés à travers le Majella, complexes réels des logements et des entreprises où vous pouvez imaginer la dure vie des pasteurs qui caractérisent si profondément la vie socio-économique de l'ensemble des Abruzzes, à la fois da identifier manger “terre de bergers”.